
« Un cinéma sans électricité »
Mémoire de fin de Master, ENSA Bourges, 2016.
Extraits :
« Que faut-il pour faire du cinéma ?
– un écran
– de l’obscurité
– de la lumière
– un projecteur (une personne qui projette)
– des images
Selon cette liste minimale, le cinéma peut très bien être fait d’ombres projetées à la lueur d’une bougie. «
« Chaque geste est tributaire d’une prise électrique.
Un confort vite oublié tant il est habituel2
. Le « sans » électricité de l’intitulé concerne aussi la perte de conscience de sa présence. L’habitude crée
de l’invisible.
Le chaos du « sans électricité » serait donc non seulement collectif, mais
toucherait chaque individu au plus profond de ses habitudes. »
